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Nanoréseau intracorporel - Mik Andersen

Le nanoréseau est un ensemble d’objets et d’éléments capables d’interagir les uns avec les autres, au moyen de signaux sous forme d’impulsions, d’ondes électromagnétiques et de champs électriques, étant également capables de fonctionner dans le spectre moléculaire.

Schéma du nanoréseau intracorporel

 

• Le nanoréseau est un ensemble d’objets et d’éléments capables d’interagir entre eux, au moyen de signaux sous forme d’impulsions, d’ondes électromagnétiques et de champs électriques, étant également capables de fonctionner dans le spectre moléculaire.

• Ces composants peuvent être déjà assemblés ou en attente d’auto-assemblage lorsque les conditions de température, de magnétisme et d’environnement s’y prêtent.

• Au sein du nanoréseau, on distingue deux types ou brins :

1. Celui qui est fixé dans le cerveau
2. Celui qui est fixé dans le reste du corps

Nanoréseau cérébral

• Il vise à former une interface neuronale pour interagir avec les processus cognitifs, physiques et électriques de l’activité cérébrale pour la neuromodulation, la neurostimulation et le neurocontrôle.

• Cela nécessite l’introduction de nanotubes de carbone qui peuvent être utilisés pour relier les neurones, raccourcissant la distance naturelle des axones. Cela peut également être réalisé avec des points quantiques de graphène et des nanofeuilles de graphène, bien que la littérature précise que les nanotubes de carbone à paroi unique SWCNT ou les nanotubes de carbone à parois multiples MWCNT sont l’élément clé.

• Les nanotubes de carbone ainsi que l’hydrogel dont ils sont enrobés agissent comme des électrodes, captant les fluctuations de l’activité électrique des neurones, avec une sensibilité suffisante pour déterminer la ségrégation des neurotransmetteurs.

 
• L’activité électrique peut être transmise à travers les nanotubes de carbone, sous forme de signaux déclenchés par l’activité moléculaire du tissu cérébral qui les entoure, de sorte qu’une carte de l’activité cérébrale de l’individu peut être obtenue en temps réel.

• Les nanotubes de carbone étant des structures tubulaires de graphène, ils peuvent propager les signaux électriques vers d’autres composants du nanoréseau, ce sont les nanorouteurs ou nanocontrôleurs les plus proches.

• Les nanorouteurs sont chargés de recevoir le signal électrique, de le décoder, de configurer les paquets de données et le destinataire de l’information, de fournir une identification MAC et une adresse IP de destination. De plus, ces informations peuvent être cryptées pour augmenter la sécurité du système et empêcher le bio-piratage.

• Pour transmettre le signal vers l’extérieur du corps, il faut une nanointerface, qui pourrait avoir plusieurs fonctions, d’une part le cryptage des paquets de données et d’autre part, augmenter la fréquence, afin qu’il puisse se propager à l’extérieur le corps à une distance suffisante.

Nanoréseau corporel

• Contrairement au réseau de nano-cérébraux, il ne nécessite pas de nanotubes de carbone pour fonctionner et peut reposer entièrement sur la théorie de la communication électromagnétique. Rappelons que le nano-réseau cérébral travaille en plus sur la communication moléculaire.

• Ce réseau emploie toutes sortes de nanodispositifs et de nanonœuds, en particulier les boîtes quantiques de graphène GQD, mais aussi des nanodispositifs ou des nanocapteurs en hydrogel, en nanotubes de carbone et en feuillets de graphène (pas nécessairement préformés).

• Tous les composants, qu’il s’agisse de nanocapteurs, de nanodispositifs ou de points quantiques de graphène GQD, peuvent transmettre et répéter des signaux, de sorte qu’ils agissent comme des nanoantennes, des émetteurs et des récepteurs, dans les organes et tissus cibles.

• Les données possibles pouvant être obtenues sont les signes vitaux, l’activité cardiaque, l’activité respiratoire, la composition sanguine, le degré d’oxygénation, etc. La littérature décrit une multitude de nanocapteurs à base de graphène et de nanotubes de carbone, entre autres composants.

• Il est obtenu grâce aux pastilles quantiques de graphène GQD, qui circulent dans la circulation sanguine, les artères, les capillaires… Ces composants sont chargés électriquement et peuvent transporter des protéines grâce à leur capacité d’adsorption. Lorsqu’il passe à proximité d’un biocapteur fixe/attaché dans le corps humain (par exemple un réseau de nanotubes de carbone avec des nanofeuillets de graphène formant un circuit simple ou un transistor), il génère un différentiel de potentiel et donc un signal qui peut être interprété et transmis. N’oublions pas la capacité du nanomatériau à agir comme des nanoantennes.

• Les signaux sont transmis au nanocontrôleur ou au nanorouteur le plus proche, reproduisant le même processus de propagation du signal, vers l’extérieur du corps, au moyen d’un composant qui agit comme une nanointerface.

Ce diagramme montre tous les composants qui sont introduits avec chaque inoculation. Ensemble, ils agissent comme un réseau de surveillance du corps humain.

Composants de nanoréseaux intracorporels

1. Nanotubes de carbone et dérivés CNT, SWCNT, MWCNT
2. Points quantiques de graphène GQD
3. Nageurs hydrogel
4. Nanoantennes de graphène fractal
5. Nanorouteur ou Nanocontrôleurs
6. CODEC ou Nanointerface

Topologie de nanoréseau

1. Nanonœuds (GQD, Hydrogel nageurs, Nanotubes, Fibres)
2. Nanocapteurs (circuits nanotubes, nanofeuillets de graphène)
3. Nanocontrôleurs (circuits nanorouteurs QCA)
4. Nanointerface (circuits QCA nanoCODEC)
5. => Communication avec l’extérieur =>

Analyse des composants du réseau intracorporel

• Les nanotubes de carbone génèrent un maillage sur le réseau neuronal naturel, ce qui permet d’inférer la synapse et d’interférer dans son fonctionnement, en utilisant les stimuli appropriés.

• De nouvelles voies de connexion entre neurones sont également générées, ce qui signifie que les réseaux naturels ne sont plus utilisés au profit de la nouvelle structure, permettant la neuromodulation, la neurostimulation et le suivi de l’activité neuronale de l’individu.

• Ce schéma montre que les nanotubes agissent comme des électrodes avec lesquelles les neurones sont stimulés.

• Le graphène avec lequel sont formés les NTC étant un supraconducteur, il sert d’axone artificiel.

• Il ne faut pas oublier que le réseau de NTC avec les hydrogels peut former des circuits permettant d’obtenir et de propager le signal des neurones.

• Les nanocapteurs peuvent être formés dans n’importe quelle partie du corps, pas seulement dans le cerveau.

Fondamentalement dans l’endothélium et dans les parois des vaisseaux sanguins.

• Ces nanocapteurs n’ont pas de forme prédéfinie, leur organisation est chaotique, bien qu’ils forment des voies conductrices pour transmettre des signaux électriques de potentiel différentiel. Cela se produit lorsqu’un GQD (point quantique de graphène) s’approche du nanocapteur.

• Étant donné que les nanocapteurs peuvent propager des signaux, ils transmettent toute différence de potentiel sous forme de signal.

Nanosensors
Graphene Quantum Dots GQD

• Notez comment les nanocapteurs se fixent et se conforment à la paroi artérielle, et surveillez les GQD qui la traversent dans la circulation sanguine.

• Ce modèle peut être répété dans tout le corps, dans tout le système circulatoire et probablement dans le système nerveux.

Points quantiques de graphène GQD

• Les points quantiques de graphène sont des morceaux de graphène ou d’oxyde de graphène à l’échelle micro-nanométrique avec des formes circulaires, hexagonales, triangulaires… qui résultent de la décomposition ou de l’oxydation de nanofeuillets de graphène.

• Les GQD, loin d’être un défaut dans le réseau, jouent un rôle fondamental, puisque leur taille leur permet de fonctionner ou fonctionner comme des nano-antennes, mais ils conduisent également à travers le système circulatoire, artères, veines, capillaires, agissant comme des marqueurs électriques, mais aussi biologiques, puisqu’ils adsorbent les protéines et autres composants présents dans le sang.

Theelectricalpulsesemitted by the GQDs produce variations in the signal

• Les impulsions électriques émises par les GQD produisent des variations du signal, altérations qui sont captées par les nanocapteurs et retransmises au reste du nanoréseau pour propagation et émission.

• Il faut bien comprendre que ces signaux peuvent être discernés et interprétés selon des schémas mathématiques prédéfinis.

• Dans certaines conditions de température, de pression et de saturation sanguine, la cristallisation des nanofeuillets de graphène peut se produire en formant des fractales.

• Les fractales de graphène sont les meilleures nanoantennes en termes de capacité, bande passante, capacité de fonctionnement en fréquence, etc…

• Lorsqu’ils sont fixés sur les parois des artères et des capillaires, ils renforcent l’effet de propagation des signaux des nanoréseaux.

Fractal graphene nanoantennas

• Les nageurs d’hydrogel sont en fait des rubans d’hydrogel et de graphène, qui peuvent s’articuler pour produire un mouvement à travers le système circulatoire du corps.

• Ils peuvent libérer des médicaments, mais ils peuvent également propager les signaux des nanoréseaux vers des zones difficiles d’accès où les nanoantennes ne peuvent pas atteindre.

• Ils pourraient jouer un rôle de biocapteurs, certaines publications rapportent cette application.

Nanorouters

• Il est presque certain que ce réseau fonctionne avec de multiples nanorouteurs répartis dans tout le corps, se fixant dans des zones à activité électrique préférentielle, par exemple l’endothélium, le cœur, les poumons, les artères…

• Il est fort probable que chaque nanorouteur possède ses propres adresses MAC, stockées dans des circuits mémoires, ce qui expliquerait son fonctionnement dynamique.

• Le concept idéal est que les routeurs soient situés à proximité des régions avec des nanocapteurs et des nanoantennes, pour recevoir les signaux d’impulsions électriques.

nanorouterdoesnotneedaprocessorto operate

• Lorsque le nanorouteur reçoit les signaux, il parvient à les coder en TS-OOK et à les acheminer sous forme de paquets de données à transmettre. Les signaux TS-OOK ont un motif binaire facile à interpréter et à transmettre, ce qui augmente la capacité de transmission de données et la bande passante pouvant être prise en charge dans le nanoréseau.

• Ensuite, un routeur n’a pas besoin d’un processeur pour fonctionner, car l’architecture QCA (point quantique) lui permet de fonctionner à une fréquence d’horloge, tout comme le ferait un processeur d’ordinateur.

• De cette manière, les signaux sont transmis au nanorouteur le plus proche afin d’optimiser le nanoréseau et d’éviter la saturation des signaux. Pour cette raison, plusieurs de ces composants sont envisagés, assis grâce à l’hydrogel.

• La nano-interface est un circuit QCA plus complexe, qui contient une nano-antenne pour transmettre et recevoir les signaux TS-OOK. Avec une forte probabilité, il dispose d’un CODEC pour crypter les paquets de données et les retransmettre vers l’extérieur

Nanointerface
Plasmonic nanoantennas

• Une nanointerface,comme un nanorouteur, peut être composée de plusieurs niveaux ou couches,dont seule la plus externe est visible au microscope. Cela ne facilite pas la découverte de ses fonctions.

• Le cryptage des données est compréhensible, en raison de la sensibilité et de la confidentialité des informations, afin d’ajouter des couches de sécurité pour empêcher le bio-piratage.

• JAconjointement avec le CODECQCA, des nanoantennes plasmoniques ont été trouvées qui servent à amplifier et à répéter l’émission de la nanointerface. Ceci est important pour la transmission de paquets de données chiffrés à l’extérieur du corps. Pour cela, la barrière cutanée (derme, épiderme…) doit être franchie.

 

Processus de nanocommunication intracorporelle

2 Processus de nanocommunication intracorporelle