Association Évidence

Ouvrages de Référence Climat & Modification Climatique

L’Arme Climatique: La Manipulation Du Climat Par Les Militaires

Patrick Pasin

Les premières tentatives de modification du climat par les militaires ont commencé il y a plus d’un siècle. Pourtant, le public ignore presque tout de ces pratiques censées être interdites. Alors bienvenue au coeur d’un des secrets militaires les mieux gardés, où l’on suit au fil des décennies l’évolution de ces armes de destruction massive, où l’on apprend qu’elles ont été utilisées en temps de guerre et en temps de paix avec de nombreuses victimes, où l’on étudie une douzaine de catastrophes « naturelles » peut-être pas si naturelles que cela… Au fil des pages, on découvre aussi que les militaires ont répandu dans le ciel de grandes villes pendant des dizaines d’année des produits toxiques ainsi que des agents biologiques. Et le pire est sans doute à venir compte tenu des avancées récentes, d’autant plus que la guerre climatique est, par nature, invisible.

L'idéologie du réchauffement

Rémy Prud'homme

L’homme est-il responsable du réchauffement du climat ? Cet essai ne nie pas le réchauffement de la planète dont la température moyenne a augmenté de 0,6 à 0,8 degré centigrade au cours du XXe siècle. Il n’élude pas non plus la possibilité d’une augmentation des températures dans les années à venir. Mais il s’intéresse plutôt au discours apocalyptique qui règne dès lors qu’on évoque ce réchauffement. A la recherche de fondements scientifiques solides, il déconstruit ce faisant le « réchauffisme », mélange de « réchauffement » et d’« alarmisme », discours omniprésent et véritable idéologie. En interrogeant son caractère scientifique, en soulignant ses contradictions et en confrontant ses prédictions avec les évolutions effectives, l’auteur critique le discours « réchauffiste » dans ce qu’il a de simpliste et de réducteur. Pour le dire autrement, ce livre se fait l’avocat du diable dans le procès fait à l’homme à propos du réchauffement et montre comment une science fragile a pu se transformer en idéologie. Une idéologie dangereuse comme toutes les idéologies.

Climat, mensonge et propagande

Hacène Arezki

D’un côté des climatologues alarmistes qui affirment que la Terre se réchauffe par la faute des activités humaines. De l’autre, les climatosceptiques pour qui ce réchauffement a des causes naturelles. Qui croire ? Parce qu’elle dissimule des enjeux idéologiques et économiques colossaux, une banale controverse scientifique a pris une ampleur considérable, tuant ainsi le débat scientifique. Loin de tout lobby et de toute passion, le géographe Hacène Arezki propose une remise à plat radicale, en répondant aux questions essentielles : Comment mesure-t-on la température de la Terre ? Quelle est l’ampleur réelle du réchauffement climatique ? Ce réchauffement est-il sans précédent ? Faut-il s’en alarmer ? Hormis les activités humaines, quelles autres hypothèses sérieuses peuvent l’expliquer ? Au-delà des aspects historiques et scientifiques, ce livre lève le voile sur les véritables enjeux politiques, économiques et médiatiques du débat sur le réchauffement climatique. L’enquête sur l’épopée d’Al Gore et sur le Climategate, entre autres, est éloquente. Ce livre possède une qualité rare : rendre le débat sur le climat accessible à tous sans sacrifier un instant la rigueur scientifique.

Le GIEC est mort - Vive la Science!

Drieu Godefridi

Résolument à contre-courant dans le débat climatique, l’auteur de cet essai soutient que le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) est une imposture consistant à présenter comme scientifique un projet essentiellement politique, et que cette imposture est la plus formidable de la science moderne par la fulgurance et le caractère planétaire de son succès. L’essai se lit également comme une audacieuse leçon de rigueur administrée par la philosophie à la science. S’opposant aux partisans du GIEC, mais se démarquant également de ce qu’il appelle les gribouillages de Claude Allègre, l’auteur suggère que l’on distingue le débat au sein du GIEC, qui relève des sciences exactes, et le débat sur le GIEC, qui est de nature épistémologique, c’est-à-dire institutionnelle, logique, de méthode. « Ce texte absolument remarquable est exactement ce qui manquait dans le débat sur le GIEC. » Henri Lepage, économiste « Très intéressant essai, en particulier l’analyse de la composition du GIEC et l’abus du mot Science. » Guy Sorman, essayiste « Ce texte est un vrai régal, une analyse parfaite de la logique et des ressorts d’une confusion scientifico-politique et de l’énorme mystification qui s’en est suivie » Henri Atlan, biologiste et philosophe « Cet essai consitue un brillant exercice d’hygiène mentale et de salubrité publique. » Mark Eyskens, ancien Premier ministre belge. Fondateur de l’institut Hayek et chef d’entreprise (Cogito), Drieu Godefridi est juriste et docteur en philosophie (Paris IV-Sorbonne) et l’auteur de nombreuses publications académiques et autres, dont récemment « Le droit public » (2009) et « Arbitraire et droit dans l Athènes antique » (Folia Electronica Classica, 2010). Il est régulièrement invité par les radios et télévisions francophones et anglophones.

Ils s'imaginaient sauver le monde : Chroniques sceptiques de la COP21

Benoît Rittaud

Ils veulent agir pour notre bien, tous ceux qui tirent encore et toujours la sonnette d’alarme sur les « dérèglements climatiques ». Pourtant, les meilleures intentions du monde n’ont jamais garanti la justesse d’un diagnostic. L’énormité des sommes en jeu impose l’usage de l’esprit critique, et non une adhésion de complaisance. Nouvelle terreur millénariste, le dérèglement climatique n’est rien de plus qu’une illusion parée de science. Un sentiment de toute-puissance conjugué à la traditionnelle culpabilité judéo-chrétienne a conduit à cette nouvelle trahison des clercs et à l’émergence d’un clergé postmoderne composé d’intellectuels s’arrogeant la mission de faire le bien, oubliant leur rôle qui est d’abord de rechercher le vrai. En décembre 2015, la COP21, à Paris, a rassemblé quarante mille négociateurs qui devaient graver dans le marbre un engagement mondial exceptionnel pour réduire l’impact de l’homme sur le climat. Exagérations grossières des risques, vaines envolées lyriques, promesses non engageantes, dénonciation des déviants… rien n’a manqué au barnum dont le seul résultat réel a été que la bureaucratie climatique a fait ce qu’il fallait pour prolonger sa propre existence. Il est temps que les citoyens se demandent s’ils sont d’accord. Mathématicien et essayiste, Benoît Rittaud est maître de conférences à l’université Paris-13 et président de l’association des climato-réalistes.

L'INNOCENCE DU CARBONE - L'effet de serre remis en question

François Gervais

Sauver le climat pour mieux sauver la planète. Belle ambition dont la réalisation semble encore empêchée par un coupable unique, responsable de l’effet de serre et du réchauffement climatique : le gaz carbonique. En effet, que ce soit dans le débat actuel sur la « transition écologique » et dans l’ensemble des projets soumis par les autorités européennes ou dans les propositions de l’acte III de la décentralisation, il est le grand coupable désigné à la vindicte et condamné par une taxation aveugle. Et si ce coupable était indispensable à la vie sur terre ? Et si la taxation systématique du « carbone » » était une erreur funeste et que d’autres approches étaient possibles? Et si nous avions besoin de plus de science pour approfondir la question sur des bases véritablement solides ? À partir d’un point de vue strictement scientifique qui n’esquive pourtant pas le débat, François Gervais s’oppose à la conception univoque et réductrice qui fait du gaz carbonique le responsable de tous les maux et interdit finalement de repenser à la fois les bases d’une solidarité Nord-Sud plus juste et une politique énergétique ambitieuse. François Gervais est professeur émérite à l’Université François Rabelais de Tours. Physicien, spécialiste de thermique et d’infrarouges, il y a dirigé un laboratoire associé au CNRS. Il est membre du Conseil scientifique du Pôle de compétitivité S2E2 « Smart electricity cluster » et Vice-président de Centre-Sciences. Médaillé du CNRS en thermodynamique et primé par l’Académie des Sciences, il a été retenu par le GIEC comme évaluateur critique des rapports de l’organisme.

La guerre secrète contre les peuples

Claire Séverac

On nous dit que ce sont de simples avions de ligne… Dormez bien, braves gens, il ne se passe rien ! De ces traînées blanches laissées par des avions qui pulvérisent sur nos têtes des produits toxiques, transformant nos beaux ciels bleus en plafonds laiteux, au programme Haarp, officiellement destiné à permettre les communications longue distance, mais qui sert à bien d’autres fins… on nous ment sur tout. Le temps qui se détraque, les catastrophes météorologiques à répétition, dus au CO2 vraiment ? Des documents déclassifiés de l’armée, des experts repentis, des scientifiques intègres parlent, eux, de guerre climatique. Quelles meilleures armes que celles qui se dissimulent sous des phénomènes naturels ! Beaucoup d’entre nous ont entendu parler des diverses expériences de la CIA, toutes plus horrifiantes les unes que les autres. Mais combien savent qu’elles touchent le commun des mortels, que nous sommes tous victimes des armes bactériologiques, des implants, des nanoparticules, des mutations génétiques, des manipulations mentales, exposés aux perspectives terrifiantes ouvertes par le transhumanisme et l’eugénisme qui sont le but de nos élites ? Si nous ne nous y opposons pas, demain, ces nouvelles technologies au service des puissants feront de nous au mieux des pions, au pire des esclaves. Plus ou moins tenus secrets, ces projets revêtent tous un alibi humanitaire : la faim dans le monde, le réchauffement climatique, la santé, l’écologie, la sécurité… En réalité, ils obéissent tous au plan d’une oligarchie qui n’a plus besoin de toutes « ces bouches inutiles », comme ses membres nous appellent en privé, et qui se donne ouvertement comme objectif de réduire l’humanité à 500 millions d’individus. Le plus grand génocide de l’histoire est en marche dans la désinformation la plus totale.

L'imposture climatique

Dominique de MONTVALON, Claude ALLEGRE

Après la crise bancaire qui a ébranlé le monde et continue de le secouer, une véritable panique climatique a failli en amplifier les effets. Heureusement, à Copenhague, grâce aux pays du Sud soutenus par Barack Obama, le bon sens, au final, l’a emporté. Jusqu’à quand ? Sous la forme d’un dialogue vif et approfondi, ce livre raconte dans les détails comment une véritable conspiration mélangeant science et politique a pu imposer le mythe du réchauffement climatique – théorie scientifique plus que fragile – à tant d’hommes politiques comme aux médias. Il raconte par le menu comment les ambitions scientifiques et politiques de quelques-uns ont pu s’appuyer sur un affairisme très actif, une technostructure de l’ONU en recherche de justification et un mysticisme pour alimenter la peur et la culpabilité, ferments assurés de déclin. Ce livre-choc documenté, précis et implacable donne, sans langue de bois, les clés de ce qui apparaîtra demain comme le premier scandale planétaire. Avec, en toile de fond, le dévoiement de la très belle idée d’écologie.

La Faillite du climatisme (Les Insoumis t. 9)

Depuis longtemps, la question du réchauffement climatique a quitté les sphères scientifiques pour se transformer en une idéologie au service de la gouvernance globale, le climatisme. Cet essai entend démontrer la triple faillite de cette nouvelle idéologie. Faillite scientifique quand le dogme politique prend le pas sur les résultats expérimentaux ; faillite morale quand la censure remplace le débat universitaire ; et faillite économique quand l’Europe s’impose seule le coût faramineux et inutile des énergies renouvelables. The Oyster Club est un collectif de scientifiques et d’intellectuels européens qui analysent les dévoiements politiques des sciences physiques. Il est présidé par le docteur István Markó, professeur de chimie à l’université catholique de Louvain.

La comédie du climat

Olivier Postel-Vinay

Le changement climatique fournit à mes yeux un matériau de choix pour analyser la comédie du pouvoir et des croyances dans le monde contemporain. Autour de la thèse : la Terre se réchauffe du fait des activités humaines, l’affrontement est violent. D’un coté, les « climatozélotes » qui pensent qu’il n’y a plus de doute et qui ont fait de cette thèse une croyance absolue. De l’autre, les « climatosceptiques » qui pensent avoir relevé suffisamment d’incohérences dans les présentations et les chiffres pour afficher un scepticisme argumenté. Je me considère comme un « climatoagnostique ». Il en va de la thèse comme de Dieu. Pour l’heure, elle ne peut être ni démontrée ni infirmée. L’un des objets de ce livre est d’expliquer pourquoi, d’analyser données et observations, d’interpréter objectivement les résultats. J’interroge aussi la science d’aujourd’hui, sa relation à l’argent, à la politique et aux médias. Comment fait-on la différence entre une croyance collective et une certitude scientifique ? Un débat qui donne naissance à un spectacle quasi shakespearien. À l’exception de l’amour, toutes les passions humaines s’y déchaînent : soif de savoir et de pouvoir, quête de notoriété, goût inavoué pour l’argent, vanité, délire, et même haine jusqu’à l’excommunication ou la mise à mort…

Climat, j'accuse : Des millions de morts au nom des pays riches ?

Christian Gerondeau

Ils ne savent pas ce qu’ils font. Ils disent vouloir sauver la planète pour le bien de l’humanité. Mais si on les écoute, les conséquences seront dramatiques. Lorsque la plupart des responsables politiques, économiques ou religieux accréditent l’objectif de la conférence de Paris de réduire de 50% les émissions de CO2 à l’horizon 2050, non seulement ils font aveuglément confiance au travestissement de documents scientifiques, mais surtout ils contribuent à la mise en danger de mort de millions d’hommes et de femmes. Car chaque année, plus de quatre millions d’êtres humains meurent parce qu’ils n’ont pas ou peu d’électricité et qu’ils sont intoxiqués par les fumées de foyers domestiques. D’après l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), ce « dirty cooking » constitue bien la première cause mondiale de mortalité humaine. Pour faire cesser cette tragédie et plus généralement sortir de la pauvreté plus de trois milliards d’habitants, il faut avant tout leur donner accès à une électricité abondante et bon marché, que seules peuvent le plus souvent leur procurer des centrales à gaz ou à charbon. Mais, au nom de la lutte contre les hypothétiques inconvénients du CO2, les gouvernements des pays riches voudraient le leur interdire. Heureusement, les pays pauvres ne les écouteront pas, conduisant la conférence de Paris, la COP 21, à un échec total.

Les Apprentis sorciers du climat. Raisons et déraisons de la géo-ingénierie

Clive Hamilton

L’échec répété des négociations internationales sur le climat signifie que nous nous dirigeons vers une hausse globale des températures de 3 à 6 °C d’ici 2100. Celle-ci entraînera des événements météorologiques extrêmes et de nombreuses souffrances humaines. Les espoirs se tournent aujourd’hui vers des technologies qui proposent de refroidir la Terre sans changer notre modèle de développement ni de consommation. Telle est la promesse de la géo-ingénierie et de ses promoteurs, soutenus par Bill Gates lui-même. Pulvériser du soufre dans la haute atmosphère, modifier la chimie des océans, stocker le carbone dans les profondeurs de la Terre : tels sont les projets et les expériences à hauts risques de ces  » géocrates  » – ingénieurs, scientifiques et hommes d’affaires – qui entendent régler le thermostat de la planète. Clive Hamilton, spécialiste des enjeux environnementaux, pose la question de fond : ces hommes ont-ils le droit de jouer aux apprentis sorciers avec la Terre ?